Genre théâtral

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Un mariage à la mode : dans les vaudevilles, les personnages comme leurs mises en situation sont stéréotypées - représentation satirique sous forme de peinture rococo, de William Hogarth. Angleterre, années 1750.

Le genre théâtral désigne à la fois un type de littérature et permet de classer les spectacles en fonction de leur style et de leur appartenance à un mouvement littéraire. Il repose sur un principe de dialogue, en mettant en scène des personnages en situation de communication directe[1].

Dans le théâtre classique

Caractéristiques des principaux genres classiques
Registres Origine des personnages Époque Exercice de la liberté Ton de la pièce Dénouement Réactions des spectateurs Exemple
Tragi-comédie Noblesse ou haute bourgeoisie (seconde moitié XVIe – XVIIe siècle) Hasard, liberté Tendu Heureux Sympathie Le Cid de Corneille
Comédie d'intrigue Noblesse, bourgeoisie Contemporaine à celle de l'auteur Obstacles individuels Enlevé ou tendu Heureux Sympathie Les Fourberies de Scapin de Molière
Comédie de mœurs Bourgeoisie Contemporaine à celle de l'auteur Poids de la société Joyeux, parfois tendu Heureux Moquerie envers les ridiculisés Turcaret de Lesage
Comédie de caractère Bourgeoisie Contemporaine à celle de l'auteur Emprise du caractère Joyeux, parfois tendu Heureux Moquerie envers les ridiculisés Le Misanthrope de Molière
Satire Peuple Moyen Âge Obstacles légers Comique gestuel Heureux Rire La Farce de Maître Pathelin (vers 1457)


Les différents genres théâtraux

Les mouvements dramatiques

La Règle des trois Unités

Article détaillé : Règle des trois unités.

Elle a été codifiée en 1636 par l'Académie Française, après les premières représentations du Cid par Corneille[réf. souhaitée]. Cette convention s'appuie sur le principe de vraisemblance selon lequel une pièce de théâtre doit, au maximum, imiter l'action réelle.

  • L'unité de temps : une journée.
  • L'unité d'action : une seule action est possible si elle se passe pendant le cours d'une journée.
  • L'unité d'espace : le lieu où toutes les personnes doivent pouvoir se rencontrer dans une journée est souvent une « antichambre » ou un vestibule.

Références

  1. La stylistique : méthode et commentaires, Frédéric Calas, Éd. Armand Colin, 2011.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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