Marie-Christine d'Autriche (1742-1798)

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Marie-Christine d'Autriche
Illustration.
Portrait de Marie-Christine d'Autriche
Titre
Régente des Pays-Bas autrichiens

(11 ans, 3 mois et 1 jour)
Avec Albert de Saxe-Teschen
Prédécesseur Charles-Alexandre de Lorraine
Successeur Charles-Louis d'Autriche-Teschen
Biographie
Dynastie Maison de Habsbourg-Lorraine
Nom de naissance Marie, Christine, Jeanne, Josèphe, Antoinette
Date de naissance
Lieu de naissance Vienne (Autriche)
Date de décès (à 56 ans)
Lieu de décès Vienne (Autriche)
Sépulture Crypte des Capucins
Père François Ier du Saint-Empire
Mère Marie-Thérèse d'Autriche
Conjoint Albert de Saxe-Teschen
Religion Catholicisme
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Marie Christine Jeanne Josèphe Antoinette d'Autriche (Maria Christina Johanna Josepha Antonia), archiduchesse d'Autriche, princesse de Bohême et de Hongrie, duchesse de Saxe, née à Vienne le et morte le , fut gouvernante des Pays-Bas autrichiens de 1780 à 1793.

L'affection d'Isabelle

L'archiduchesse est le cinquième enfant de l'empereur François Ier de Lorraine et de l'impératrice-reine Marie-Thérèse.

Marie-Christine, surnommée Mimi dans sa famille, née le même jour que sa mère () et après la naissance si attendue de l'héritier du trône, le futur Joseph II en , était l'enfant favori de sa mère. La préférence dont l'impératrice faisait montre à son égard lui valut la jalousie de ses frères et sœurs, particulièrement de l'empereur Joseph II, dont la première épouse, Isabelle de Parme, semblait elle aussi préférer la compagnie de Marie-Christine à celle de son mari. Les lettres écrites par Isabelle à Marie-Christine sont d'un ton extrêmement passionné, et sont le témoignage des sentiments exacerbés qu'éprouvait Isabelle, jeune femme étrangère, très intelligente mais fragile voire dépressive envers sa belle-sœur. Il est toutefois difficile de leur donner une signification précise selon les conceptions actuelles de l'homosexualité. Le XVIIIe siècle n'a pas du tout la même vision de l'homosexualité féminine qu'aujourd'hui, héritage du XIXe siècle. Les expressions de tendresse exaltées qu'on trouve dans cette correspondance sont tout à fait conformes à la mode de l'époque (telles qu'elles abondent, par exemple, dans la correspondance - littéraire - entre Julie et Claire de La Nouvelle Héloïse, ou dans celle - authentique - entre la duchesse de Devonshire et Lady Foster).

Face à l'exaltation amoureuse d'Isabelle, Marie-Christine semble avoir montré une attitude plus compassée, s'efforçant en vain de remettre Isabelle dans un état d'esprit plus raisonnable (les lettres de Marie-Christine n'ont jamais été retrouvées, mais on déduit leur contenu des réponses d'Isabelle, qui souffre de la non-réciprocité de ses sentiments)[1].

Au surplus, précisément à cette époque, Marie-Christine était amoureuse du duc Louis de Wurtemberg, et s'était même fiancée secrètement avec lui. Le mariage n'eut pas lieu car le prince, cadet d'une petite famille régnante, ne fut pas considéré comme un parti suffisant par l'Impératrice. Marie-Christine, face aux effusions croissantes d'Isabelle, finit par se résoudre à éviter soigneusement de se trouver seule avec elle, ne la rencontrant plus qu'en public dans les cérémonies de la Cour[2]. Enfin, elle choisit de s'éloigner définitivement en s'établissant à Prague. De cette époque datent les lettres les plus désespérées d'Isabelle, qui se livre alors avec Marie-Christine à un véritable chantage au suicide. À quoi Marie-Christine répondit froidement (une de ses rares lettres subsistantes) : « Votre désir de mort est une chose entièrement mauvaise, et qui témoigne de votre égoïsme ou d'une prétention aux résolutions héroïques ».

Au demeurant, « Isabelle était déchirée entre ses sentiments pour sa belle-sœur, son devoir envers son mari, et sa foi catholique ardente. Elle se sentait mourir de honte et de culpabilité (« Dieu connaît mon désir de fuir une vie par laquelle je L'offense chaque jour », écrit-elle ailleurs). Son sentiment de faute est impressionnant. Marie-Thérèse semble ne s'être jamais aperçue de rien. »[3]

Après la mort d'Isabelle, dont Joseph II fut désespéré, Marie-Christine elle-même offrit à son frère, pour le consoler par un souvenir de sa femme, l'ensemble des lettres qu'elle avait reçues de la défunte, et ce dernier les conserva soigneusement dans ses propres papiers.

Habile et intelligente

Albert de Saxe, duc de Teschen.
Marie-Christine de Habsbourg-Lorraine, archiduchesse d'Autriche, duchesse de Teschen, gouvernante des Pays-Bas. Tableau de Johann Zoffany, 1776.

Marie-Christine était une femme très intelligente qui, avec les conseils de sa belle-sœur Isabelle de Bourbon-Parme avait toujours su très habilement gérer ses relations avec ses parents, particulièrement sa mère. La mort inopinée de son père, l'empereur François Ier, ayant plongé l'impératrice Marie-Thérèse dans une dépression profonde, Marie-Christine profita de cette faiblesse momentanée pour arracher à sa mère l'autorisation de se marier par amour plutôt que par raison d'État. Elle était en effet amoureuse du prince Albert de Saxe depuis un certain temps, et cette union avait d'abord été rejetée par l'impératrice, comme peu prestigieuse et par l'empereur qui voulait marier Marie-Christine au fils de sa sœur défunte Benoît de Savoie, comte de Chablais. Son père étant mort en août 1765, sa mère sombrant dans un désespoir profond, Marie-Christine finit ainsi par parvenir à ses fins, et elle épousa Albert en 1766. Albert, qui était le quatrième fils du roi de Pologne, n'avait que peu de chance de porter un jour une couronne. Pour dissimuler ce handicap politique, Marie-Thérèse titra son gendre duc de Teschen puis les deux époux furent nommés conjointement gouverneurs des Pays-Bas autrichiens à la mort de leur oncle, le prince Charles-Alexandre de Lorraine en 1780.

Marie-Antoinette

Marie-Christine fut probablement celle de ses sœurs avec qui Marie-Antoinette, de treize années sa cadette, s'entendit le moins. La préférence trop accusée de sa mère ne fut jamais pardonnée. En outre, Marie-Christine étant gouvernante générale des Pays-Bas, où paraissaient la majorité des pamphlets satiriques dirigés contre elle, la reine de France était persuadée que sa sœur envoyait à leur mère tous les ragots à son propos imprimés à Bruxelles. Ainsi, lorsque Marie-Thérèse écrivit à Marie-Antoinette pour lui reprocher une dépense exorbitante consacrée à l'achat de bracelets de diamants, Marie-Antoinette écrivit aussitôt à l'ambassadeur Florimond de Mercy-Argenteau son opinion sur la façon dont Marie-Thérèse avait eu vent de cette affaire. « C'est sûrement encore la Marie [Christine], c'est de la jalousie, c'est bien dans son goût… »

Lorsque Marie-Christine et son mari vinrent visiter le roi et la reine à Versailles, Marie-Antoinette prévint Mercy très nettement qu'elle n'avait pas envie de supporter la présence de sa sœur au quotidien et qu'il avait à s'arranger pour prévoir un emploi du temps qui la débarrasserait de Marie-Christine le plus souvent possible. De fait, si Louis XVI s'entendit très bien avec ce beau-frère qui était aussi son jeune oncle (rappelons qu'Albert était le dernier frère de Marie-Josèphe de Saxe, la propre mère de Louis XVI), les rapports entre Marie-Christine et Marie-Antoinette furent d'une extrême froideur, et Marie-Antoinette, contrairement à l'usage, ne fit organiser pour sa sœur ni réception à Trianon, ni aucune soirée de gala particulière.

En revanche, Marie-Thérèse, la fille de Marie-Antoinette, sera très proche de sa tante pendant son exil à Vienne jusqu'à la mort de cette dernière en 1798[4].

Un couple d'artistes

L'union d'Albert et Marie-Christine fut parfaitement heureuse, les deux époux partageant entre autres la même passion pour le dessin. Albert réunit une des plus belles collections de dessins au monde, aujourd'hui conservée dans le célèbre musée viennois qui porte son nom, l'Albertina. Marie-Christine peignait de son côté en amateur des aquarelles et des gouaches conservées aujourd'hui à Schoenbrunn, qui nous permettent de contempler la famille impériale dans l'intimité. On citera entre autres son autoportrait, une représentation de l'accouchement de sa belle-sœur Isabelle, et une représentation d'un matin de la Saint Nicolas au coin du feu, l'empereur François Ier lisant son journal, Marie-Thérèse préparant le café, tandis que les plus jeunes enfants impériaux découvrent leurs cadeaux dans leurs souliers (une poupée pour Marie-Antoinette, mais un fouet pour Ferdinand en pleurs, qui regrette sûrement de ne pas avoir été sage…). À Bruxelles, Marie-Christine et Albert bâtirent en 1782-1784 le château de Laeken (l'actuelle résidence de la famille royale de Belgique), œuvre de l'architecte Louis Montoyer et des meilleurs artistes européens, sculpteurs, décorateurs, paysagistes, etc. En 1786, le couple décide de faire un voyage incognito, sous les noms de Comte et Comtesse de Bellye, pour visiter les cotes françaises de Nantes à Dunkerque. Ils passeront 2 jours dans chaque port dont Lorient où ils admirent un bateau à quai, appartenant à Jean Peltier Dudoyer, Le Bretton, 1 200 tx, décoré pour l'occasion, et 3 jours à Brest en raison de l'arsenal.

Adoption de l'archiduc

La seule déception de ce mariage fut dans sa postérité, Albert et Marie-Christine n'eurent en effet qu'une fille, qui mourut le lendemain de sa naissance, le , la princesse Marie-Thérèse de Saxe-Teschen (rappelons que Marie-Thérèse avait décidé qu'elle serait la marraine de la fille aînée de chacun de ses enfants, qui tous devraient donner à leur fille aînée le prénom de leur grand-mère). Marie-Christine ne pouvant plus avoir d'autres enfants, le couple adopta un neveu de Marie-Christine, l'archiduc Charles-Louis, né en 1771.

Chassée de ses États

Antonio Canova, monument funéraire de Marie-Christine d'Autriche.

Le couple eut à lutter contre la révolte de leurs États causée par les maladroites réformes de l'empereur Joseph II, frère de Marie-Christine. C'est la révolution brabançonne qui, en 1789, donna naissance aux États-Belgiques-Unis.

Après une tentative de l'Autriche de se réinstaller - qui ne dura guère - en 1793 Marie-Christine et Albert, chassés par les armées de la Révolution française, se retirèrent dans la capitale autrichienne.

Morte du typhus en 1798, Marie-Christine est inhumée à Vienne, dans la crypte impériale de l'église des Capucins, habituelle nécropole des Habsbourgs. Mais en outre, dans l'église des Augustins, paroisse de la famille impériale, son mari lui fit élever un beau monument par le grand sculpteur italien Canova, avec une simple inscription : « Uxori optimae. Albertus » (« À la meilleure des épouses. Albert »).

Ascendance

Ancêtres de Marie-Christine d'Autriche (1742-1798)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
32. François II de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
16. Nicolas-François de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
33. Christine de Salm
 
 
 
 
 
 
 
8. Charles V de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
34. Henri II de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
17. Claude-Françoise de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
35. Marguerite de Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
4. Léopold Ier de Lorraine
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
36. Ferdinand II du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
18. Ferdinand III du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
37. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
9. Éléonore d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
38. Charles II de Nevers-Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
19. Éléonore de Nevers-Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
39. Marie de Mantoue
 
 
 
 
 
 
 
2. François Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
40. Henri IV de France
 
 
 
 
 
 
 
20. Louis XIII de France
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
41. Marie de Médicis
 
 
 
 
 
 
 
10. Philippe d'Orléans
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
42. Philippe III d'Espagne
 
 
 
 
 
 
 
21. Anne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
43. Marguerite d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
5. Élisabeth-Charlotte d'Orléans
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
44. Frédéric V du Palatinat
 
 
 
 
 
 
 
22. Charles Ier Louis du Palatinat
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
45. Élisabeth Stuart
 
 
 
 
 
 
 
11. Élisabeth-Charlotte de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
46. Guillaume V de Hesse-Cassel
 
 
 
 
 
 
 
23. Charlotte de Hesse-Cassel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
47. Amélie-Élisabeth de Hanau-Münzenberg
 
 
 
 
 
 
 
1. Marie-Christine d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
48. Ferdinand II du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
24. Ferdinand III du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
49. Marie-Anne de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
12. Léopold Ier du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
50. Philippe III d'Espagne
 
 
 
 
 
 
 
25. Marie-Anne d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
51. Marguerite d'Autriche-Styrie
 
 
 
 
 
 
 
6. Charles VI du Saint-Empire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
52. Wolfgang-Guillaume de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
26. Philippe-Guillaume de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
53. Madeleine de Bavière
 
 
 
 
 
 
 
13. Éléonore de Neubourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
54. Georges II de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
27. Élisabeth-Amélie de Hesse-Darmstadt
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
55. Sophie-Éléonore de Saxe
 
 
 
 
 
 
 
3. Marie-Thérèse d'Autriche
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
56. Auguste II de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
28. Antoine-Ulrich de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
57. Dorothée d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
14. Louis-Rodolphe de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
58. Frédéric de Schleswig-Holstein-Norbourg
 
 
 
 
 
 
 
29. Élisabeth-Julienne de Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Norbourg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
59. Éléonore d'Anhalt-Zerbst
 
 
 
 
 
 
 
7. Élisabeth-Christine de Brunswick-Wolfenbüttel
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
60. Joachim-Ernest d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
30. Albert-Ernest Ier d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
61. Anne-Dorothée de Hohenlohe-Waldenbourg
 
 
 
 
 
 
 
15. Christine-Louise d'Oettingen-Oettingen
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
62. Eberhard VII de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
31. Christine-Frédérique de Wurtemberg
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
63. Anne-Catherine de Salm-Kyrbourg
 
 
 
 
 
 
 

Notes et références

  1. Simone Bertière, Marie-Antoinette, l'Insoumise, Paris, Éditions de Fallois, 2002 (ISBN 28 77 06442 5)
  2. Edgarda Ferri, Maria Teresa. Una Donna al Potere, Milano, Mondadori, 2008. (ISBN 88-04-42449-4)
  3. Edgarda Ferri, Op. cit.
  4. Hélène Baecquet, Marie-Thérèse de France, l'orpheline du Temple, Perrin, 2012, p.188-189

Voir aussi

Bibliographie

  • Friedrich Wassensteiner, Die Töchter Maria-Theresias, Bergisch Gladbach, 1996.
  • Richard Reifenscheid, Die Habsburger in Lebensbildern, Diederichs, 2000.
  • Simone Bertière Marie-Antoinette, l'Insoumise, Paris, Éditions de Fallois, 2002.
  • Antonia Fraser, Marie-Antoinette, Flammarion, 2006.
  • Edgarda Ferri, Maria Teresa. Una Donna al Potere, Milano, Mondadori, 2008.
  • Tugdual de Langlais, L'armateur préféré de Beaumarchais Jean Peltier Dudoyer, de Nantes à l'Isle de France, Éd. Coiffard, 2015, 340 p. (ISBN 9782919339280).
  • Les Cahiers de l'Iroise, N°4, 1982, pp 188-192.

Articles connexes

Liens externes

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  • Portrait gravé selon un tableau du Sénat, timbre de 1949.
Voir ce modèle.
Marie-Christine d'Autriche (1742-1798)
Précédé par Suivi par
Charles-Alexandre de Lorraine
Gouverneur des Pays-Bas autrichiens
1780-1792
Charles Louis d'Autriche
v · m
Les générations sont numérotées dans l'ordre de la descendance depuis les premiers archiducs. Au sein de chaque génération, l'ordre est strictement chronologique et défini par la date de naissance.
1re génération Aucune
2e génération
3e génération Marguerite d'Autriche
4e génération
5e génération
6e génération
7e génération
8e génération
9e génération
  • Marie-Antoinette d'Autriche
  • Marie-Élisabeth d'Autriche
  • Marie-Anne d'Autriche
  • Marie-Thérèse d'Autriche
  • Marie-Josèphe d'Autriche
  • Marie-Madeleine d'Autriche
10e génération
11e génération
12e génération
13e génération
14e génération
15e génération
16e génération
17e génération
  • Adélaïde d'Autriche
  • Charlotte d'Autriche
  • Élisabeth d'Autriche
  • Élisabeth, Edle Hubert von Braun[2]
  • Alice, baronne Vittorio Manno[2]
  • Marie-Antoinette, baronne de Proff in Irnich[2]
  • Walburga, Mme Carlos Tasso[2]
  • Katharina, Mme Roland Huber[2]
  • Agnès, baronne Peter de Fürstenberg[2]
  • Maria Ileana, comtesse Adam Kottulinski[2]
  • Alexandra, baronne Viktor de Baillou[2]
  • Maria Magdalena, baronne de Holzhausen[2]
  • Élisabeth, Mme Friedrich Sandhofer[2]
  • Ilona de Habsbourg-Hongrie
  • Agnès-Christine de Habsbourg-Toscane[2]
  • Josepha, comtesse Clemens de Waldstein-Wartenberg[2]
  • Valérie de Habsbourg-Toscane[2]
  • Alberta, baronne Alexander de Kottwitz-Erdödy[2]
  • Maria Immaculata, comtesse Reinhart de Hoensbroech[2]
  • Monika, Mme Charles de Rambures
  • Marie-Christine, Mme Raymond van der Meide
  • Maria, Mme Wilhelm de Witt
  • Margherita, comtesse Benedikt de Piatti
18e génération
  • Alexandra, Mme Héctor Riesle
  • Maria del Pilar, Edle Vollrad-Joachim von Poschinger
  • Andrea de Habsbourg
  • Monika de Habsbourg
  • Michaela de Habsbourg
  • Kinga, baronne Wolfgang d'Erffa
  • Marie-Béatrice, comtesse Riprand d'Arco-Zinneberg[3]
  • Gabriela de Habsbourg
  • Maria Constanza, princesse d'Auersperg-Trautson
  • Walburga d'Autriche
  • Myriam, Mme Jaime Corcuerra
  • Viridis, Lady Dunning-Gribble
  • Isabelle, comtesse Andrea Czarnocki-Lucheschi[3]
  • Maria Anna, princesse Peter Galitzine
  • Catharina de Habsbourg
  • Elisabeth, Mme James Litchfield
  • Sophie de Habsbourg
  • Marie-Christine, Mme Clemens Guggenberg
  • Marie-Bernadette, Mme Rupert Wolff[2]
  • Katharina, Mme Niall Brooks[2]
  • Margaretha, Mme Andreas Baumgartner[2]
  • Marie-Valérie, Mme Martin Josef Wagner[2]
19e génération
  • Marie-Christine, comtesse Rodolphe de Limburg-Stirum
  • Maria Laura de Belgique[3]
  • Éléonore de Habsbourg-Lorraine
  • Luisa Maria de Belgique[3]
  • Gloria de Habsbourg-Lorraine
  • Zsófia de Habsbourg-Lorraine
  • Ildiko de Habsbourg-Lorraine
  • Laetitia Maria de Belgique[3]
  • Hélène d'Autriche-Este[3]
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  • Cecilia de Habsbourg-Lorraine
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